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JOEL ARPAILLANGE

Ses goûts pour la photographie humaniste, et la photographie pure, guident ses pas de photographe amateur depuis plus de 53 ans.
La période 1975 à 2000 a été marquée par ses photographies de reportage en Algérie, au Niger, au Sénégal, en Ethiopie, mais aussi en Périgord et Quercy.
De 1992 à 2000 il a enseigné la photographie dans l’atelier de pratique artistique en photographie du lycée Duhamel du Monceau de Pithiviers. Depuis 2000, avec le collectif toulousain Vertige, il pratique une photographie plus créative.

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Ma Terre, mes terres.
Arrivé à un âge où l’on réfléchit sur ses origines, j’ai décidé de prendre de la hauteur au-dessus de mes terres, de ma Terre. Non je ne suis pas un riche propriétaire, mais j’aime me promener sur les chemins autour de mon ancrage périgourdin. Souvent l’homme a mis son empreinte sur ces terres en créant des champs, des noyeraies, des châtaigneraies… mais il reste encore des forêts naturelles.
Parfois son empreinte se traduit par des traces, laissées par les engins agricoles, dignes des géoglyphes de Nazca. Quelquefois les alignements d’arbres nous surprennent en imposant à la nature leur régularité et leur géométrie. Le foisonnement d’une forêt naturelle, où la main de l’homme n’a pas sévi, surgit tel un tableau impressionniste !
Comme en 2003 pour l’exposition « La ville imaginaire » avec le Collectif Vertige, j’ai utilisé ma formation scientifique en ayant recours aux assemblages de symétries multiples. J’ai renforcé des images entraperçues au moment de la prise de vue, pour construire ces tableaux baroques.

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