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CHÈRE IMAGINATION, MERCI DE NE RIEN ME PARDONNER de Marlène Delcambre

CHÈRE IMAGINATION, MERCI DE NE RIEN ME PARDONNER de Marlène Delcambre

La maquette, l’impression et le choix du papier sont réfléchis avec l'auteure afin que l’ouvrage corresponde avec le plus de justesse possible à son travail.

Le livre de Marlène Delcambre sera imprimé sur un papier couché semi-mat 170 gr.

Édition limitée, numérotée, signée par la photographe et certifiée par un cachet à froid. Format 21x15 cm (format cahier). 84 pages. 41 photographies.

 

Tout pourrait faire penser à de la photographie de mode, mais sommes-nous certain de voir ce qui est à voir ? Oscillation entre mode et monde dont les couleurs criardes soulignent une absurdité sublimée par l’artiste.Modèles et maitre d’œuvre à la fois, ses mises en scènes sont autant de mises en abimes d’un monde sans vérité tangible.

 

INTERVIEW DE MARLÈNE DELCAMBRE

 

Pourquoi l’autoportrait ?

J’utilise l’autoportrait, car j’aime raconter les histoires, j’aime interpréter les choses et quand j’ai envie de dire ou de montrer quelque chose, il serait totalement illogique pour moi de le faire jouer par quelqu’un d’autre.

C’est une façon que j’ai de communiquer avec les gens, un peu comme si j’étais l’héroïne d’un théâtre muet.


Comment vous vient l’idée de vos mises en scène ?

Mes idées peuvent venir en réaction à des événements que nous traversons tous, ou en réaction à des événements plus personnels. Certaines mises en scène sont très faciles à décoder, car elles se rapprochent de la caricature, de l’ironie et de l’absurde.

Les scènes plus personnelles sont plus souvent complexes dans l’interprétation et quand elles sont comprises, et mieux encore partagées par certaines personnes, je suis extrêmement touchée.

Je mets en scène la vie, motivée par l’envie de faire rire et d’émouvoir.


Pourquoi avez-vous commencé à photographier ? Et pourquoi avez-vous choisi ce média ?

J’ai commencé à photographier, car j’étais fascinée par les beaux visages que l’on ne peut pas s’empêcher de regarder, j’étais intriguée par ces beautés intrusives. Il fallait absolument que je fixe ces visages, ce média était donc pour moi le moyen le plus rapide et accessible pour y parvenir.

Dans mes débuts, je ne photographiais que des femmes aux visages sublimes et j’avais certaines obsessions dans le choix des couleurs et des décors.

Je photographiais une réalité esthétique dans une époque disparue.

Ces photographies représentaient le passé et la solitude.

Aujourd’hui, j’interprète la réalité d’une façon moderne et mes images appartiennent surtout au présent.


Comment définiriez-vous votre travail ?

C’est un dialogue ludique avec le public, un partage émotionnel.

Je fais de la photographie pour partager et donner quelque chose.

    38,00 €Prix
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